BL 3, MS 3, N 3, SPA 3

Les As de l'aviation française. 1914-1918

Chronique des Blériot militaires

L'aviation à la seconde bataille de la Marne

 1914-1918 au ciel de Belfort

L'aviation au Chemin des Dames

1916 de Belfort à Nancy

Le lapin à la trompette: Escadrille 39

Les "Cigognes": de Cachy au GC 12

Verdun: Ciel d'enfer, 1912-1918

Pour la suprématie de l'Air

Tirer dans l'axe du vol

Puissance et crise du bombardement stratégique. Malzéville. Printemps, automne 1915

Au service des Corps d'Armée. Mai-juillet 1915.

La guerre du ciel, 1914-1918.

 


 

 

Hiver 1914: Voler entre dunes et tranchées

Version Papier 19 euros (+ port 7 Euros) 6 exemplaires disponibles

Version Pdf 10 euros

 

Voler entre dunes et tranchéesAprès avoir fait ses preuves pendant la « bataille de la Marne », l’aviation continue ses services pendant la « Course à la mer » puis lors de la stabilisation du front.

·          Les missions précédentes de l’aviation —observation, réglage de tir, bombardement— sont en passe de changer.
Si le front Ouest reste mouvant jusqu’à la fin de l’année 1914, le front Est est stabilisé, et le Centre est en passe de l’être, même si le haut commandement y cherche toujours une percée désormais inaccessible.
On s’achemine donc vers une guerre de position ou la connaissance détaillée du front proche l’emporte sur les reconnaissances plus lointaines. Les reconnaissances avec photographie font leur apparition.
Par ailleurs les réglages d’artillerie se font de plus en plus précis, et permettent d’économiser des munitions qui commencent à manquer. L’expérimentation puis l’adaptation de la TSF pour les communications avec l’artillerie y contribue.
L’affectation d’escadrille ou de portion d’escadrille aux Corps d’Armée stabilise une relation fonctionnelle qui prélude les relations organiques des années futures.
La « chasse » des avions ennemis est encore principalement assurée par la DCA, mais les duels aériens ne sont plus rares, à tel point que la première victoire officielle est homologuée le 5 octobre 1914.
Cependant les avions ne sont plus en état de rendre les services que l’on serait en droit d’attendre. Et la maintenance laisse à désirer.
Une réorganisation avec simplification de l’aviation est nécessaire.
Cinq types d’avions viendront remplacer les vingt modèles de l’entrée en guerre, mais le programme d’octobre ne sera pas totalement exécuté par suite des retards de fabrication des avions choisis : Voisin, Maurice Farman, type 1914, Morane Saulnier, type parasol, Caudron, Blériot, type vision totale.
La décision de créer le Premier Groupe de Bombardement (novembre) marque la volonté du QGQ de disposer d’une aviation « réservée » spécialisée pour des actions au-delà des lignes de front. Cependant il ne sera vraiment opérationnel qu’au mois de février 1915.
La reprise, enfin, des expériences de « tir vers l’avant » montre qu’un tournant encore timide s’effectue vers une spécialisation des escadrilles.

L’aviation reste cependant un « service » sans autonomie.

120 pages




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Pages en consultation:

  

 

Bombarder jour et nuit, l'escadrille 110

De l'Etoile à la Cigogne, l'escadrille 103

Bombarder et chasser. L'impossible rupture: février-avril 1915

Hiver 1914: Voler entre dunes et tranchées

Célestin Pégoud, Roi de l'Air et premier As

1914: l'aviation entre en guerre

L'aviation aux manoeuvres, 1910-1913

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Le Concours d'aviation militaire