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Pilote


 

 

Télégramme de félicitations personnelles du Général Joffre, Commandant en Chef en date du 30 juillet 1915.
« Adresse félicitations à pilotes et bombardiers pour expédition accomplie ce matin dans circonstances difficiles (Pechelbronn). Signé JOFFRE».
Ordre n° 10853 des Groupes de Bombardement en date du 15 août 1915.
« Sergent pilote à l’escadrille VB 106 – Très bon pilote audacieux et réfléchi. Par deux fois, les 3 et 7 juin, a été seul à réussir une opération particulièrement difficile. A pris part avec succès au raid de Pechelbronn, exécuté dans des circonstances atmosphériques très défavorables».
Ordre de l’Armée n° 2094 en date du 20 novembre 1915.
« Sergent au 2ème Groupe de Bombardement – Excellent pilote plein de hardiesse et de sang froid. A pris part avec succès à de nombreux bombardements à grande distance exécutés par son Groupe. A eu à sept reprises son avion atteint par la mitraille ou les balles de mitrailleuses. »
Ordre de l’Armée (G.A.E) n° 33 en date du 20 septembre 1917 :
« Lieutenant, pilote à l’escadrille S 131 (GB 4) : chef d’escadrille d’une haute valeur morale. Admirable entraîneur d’hommes. A effectué de nombreuses missions dans des circonstances particulièrement difficiles. »
Ordre de l’Armée (G.A.E) n° 45 en date du 7 février 1918 :
« Lieutenant au 4ème Groupe de Bombardement – Chef d’escadrille énergique, modèle de courage et d’allant, toujours en tête de son unité. Le 3 janvier 1918, a été grièvement blessé au départ pour une expédition lointaine. »
Légion d’Honneur en date du 10 juillet 1918.
« Lieutenant au 4ème Groupe de Bombardement – Officier d’une haute valeur morale. Pilote remarquable, plein d’adresse et de sang froid. Chef d’escadrille énergique, modèle de courage et d’allant. Au front sans interruption depuis près de quatre ans dans les formations aériennes combattantes. A, par une inlassable énergie, exécuté de très nombreuses missions loin dans les lignes ennemies. Grièvement blessé au départ pour une expédition lointaine, a repris, à peine remis, son commandement avec le même entrain.
Attaqué quatre mois après, dès le passage des lignes à l’aller, par une patrouille de chasse supérieure en nombre à la formation qu’il commandait, a non seulement exécuté sa mission de bombardement, tout en combattant jusqu’au retour dans nos lignes, mais, par une manœuvre habile et pleine de sang froid a sauvé  un de ses équipages isolé qui aurait, sans son intervention été capturé par l’ennemi. »